Changement de ville, entrée dans les études, semestre à l’étranger… Les étudiants (et leurs parents) sont nombreux à se lancer dans la recherche d’appartement ou de colocation tous les ans.

Ceux qui sont passés par là s’en souviennent sûrement. Trouver un logement étudiant, souvent en colocation, peut s’avérer un cauchemar. Plus encore quand il s’agit de faire face aux prix proposés, surtout dans les grandes villes. Le bon quartier, des loyers raisonnables, des colocataires avec qui ont doit s’engager pour 6 mois ou un an, autant de facteurs à prendre en compte, tout en essayant d’éviter les mauvais plans et arnaques.

Pour grand nombre d’étudiants et jeunes diplômés français ou étrangers, le début du second semestre de l’année 2015 – 2016 débutera par une recherche d’appartement pour les héberger au cours des 6 prochains mois. L’occasion de leur présenter Weroom, réseau social français de la colocation, et sa dernière nouveauté, le Monopoly de la colocation.

Créée par un ancien élève de l’ESSEC, Thomas Villeneuve, Weroom est une startup qui propose aux étudiants un service pour les aider à trouver la colocation idéale – autant dire le graal. Weroom, le « Airbnb de la colocation » made in France, apporte à chacun une solution simple pour réserver en quelques clics une chambre au sein de colocations parisiennes à la fois abordables et trendy. En plus des services d’un site immobilier lambda, Weroom propose aux internautes d’explorer à la fois les offres d’appartement, mais aussi de trouver ses colocataires en fonction de critères précis.

En novembre, le réseau social va plus loin, et lance un Monopoly de la colocation, sorte de guide des loyers parisiens pour simplifier la recherche d’appartement et s’éviter quelques sueurs froides. Comparer les loyers dans différents arrondissements, choisir son lieu d’habitation, le tout en adéquation avec les moyens de chaque étudiant. Pour avoir une idée des économies envisageable, disons simplement que la chambre en colocation se loue en moyenne 480€ boulevard des Capucines, alors que le loyer est d’environ 1 000€ Avenue Foch.

Pour les étudiants en césure, ceux qui viennent faire leurs stages de fin d’étude ou qui signent leur premier emploi à Paris, la colocation c’est finalement une option avantageuse, non seulement pour vivre en communauté, mais aussi pour accéder à des logements spacieux souvent dotés de pièces communes en plus des chambres individuelles.

Forte de son succès, la plateforme s’exporte petit à petit. Proposant des services dans 7 villes de France, les étudiants en échange peuvent aussi trouver leur futur logement à Londres, Montréal, Bruxelles ou Berlin, et bientôt dans d’autres grandes villes d’Europe.